Silent Reading : Chapitre 6 - Julien VI
Cover T1 - Version vietnamienne
— « Adjoint... Capitaine adjoint Tao ! »
Tao Ran se retourna et vit la petite merveille du sous-bureau, le « tsunami » Xiao Haiyang, foncer vers lui.
Ses lunettes, cassées la veille, pendaient encore de travers sur ses pommettes. Il s'arrêta, essoufflé, devant Tao Ran, le visage inhabituellement grave, inspirant profondément à plusieurs reprises. Rien qu'à le regarder, l'adjoint sentit une légère douleur dans la poitrine.
Le visage de Xiao Haiyang était tendu. Il essuya ses paumes moites sur son pantalon et repoussa ses lunettes, sur le point de rendre l'âme. Puis il toussa légèrement et sortit un carnet de notes de sa poche.
— « Capitaine adjoint Tao, j'ai quelque chose à vous dire. »
Tao Ran attendit patiemment qu'il reprenne son souffle.
— « Ne te précipite pas. Dis-moi tout calmement. »
—
« Hier, lors de nos enquêtes dans l'arrondissement Ouest, j’ai remarqué
que la situation là-bas est compliquée. Les locataires partent souvent
quand ils changent de travail. Les logements illégaux surpeuplés
ressemblent plus à des foyers mal équipés de longue durée. Du coup, les
relations entre les gens sont superficielles, sauf entre voisins du même
quartier qui s’entraident. Hier, mes collègues ont travaillé toute la
journée sans obtenir grand-chose. »
Tao Ran hocha légèrement la tête, encourageant.
— « Je vois. »
—
« Mais parmi les personnes vivant avec He Zhongyi, il y avait quelqu'un
de la même province que lui, nommé… » Xiao Haiyang feuilleta son
carnet. « … nommé Zhao Yulong. Ses relations avec la victime étaient
très bonnes. Apparemment, He Zhongyi a obtenu le poste de livreur grâce à
lui. Ma Xiaowei a dit qu'il avait dû rentrer chez lui pour régler
quelque chose ces derniers jours. »
Tao Ran haussa les sourcils, surpris. Il venait justement de penser à contacter cette personne.
— « Hier soir, j'ai trouvé le responsable de l'approvisionnement de la chaîne de cafés et j'ai obtenu les coordonnées de Zhao Yulong », continua Xiao Haiyang. « Lorsqu'il a appris la nouvelle, il a accepté de prendre le dernier car hier soir pour rentrer. J'ai pris rendez-vous avec lui aujourd'hui. »
Tao Ran le regarda pensivement.
— « Je pensais que le sous-bureau concentrait son enquête sur Ma Xiaowei. »
Le visage de Xiao Haiyang se tendit encore plus. Il tira machinalement sur l'ourlet de sa chemise.
— « J... j'ai pensé qu'il y avait quelque chose de louche avec cet individu mystérieux qui a donné le téléphone à la victime. Maintenant qu'ils ont identifié Ma Xiaowei comme le meurtrier, il reste encore beaucoup de points douteux... J'en ai parlé à notre capitaine... Il m'a dit de ne pas faire le malin et d'arrêter de chercher des ennuis. »
À ce moment-là, le visage de Tao Ran devint sérieux, son sourire chaleureux s'évanouissant.
— « À quelle heure avez-vous convenu de vous retrouver ? »
— « Euh », Xiao Haiyang regarda sa montre, « si le car n'a pas de retard, dans une heure. »
Tao Ran prit une décision rapide. Sans attendre, il ajouta :
— « Je viens avec toi. Viens ! »
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Tandis
que les humbles policiers de la police criminelle arpentaient le
trottoir sous un soleil de plomb, Fei Du était installé à son bureau,
dans un fauteuil moelleux. Il appuya son front contre son doigt, plongé
dans ses pensées. À côté, son ordinateur portable affichait un résumé
banal de la vie de He Zhongyi.
Il feuilleta son carnet d’adresses, trouva le numéro souhaité et appela.
—
« Bonjour, Chang-xiong⁽¹⁾ » Il écouta la personne à l'autre bout du
fil, puis baissa les yeux et rit. « C’est un peu délicat… J’aurais
besoin d’un service. »
Moins d'une demi-heure plus tard, Fei Du obtint ce qu'il désirait : les images de toutes les caméras de surveillance autour du Manoir Chengguang, le soir de son ouverture.
Pendant sa pause de midi, il réchauffa un pot de lait sucré, complimenta une secrétaire sur sa silhouette et lui conseilla de bien manger et d'arrêter les régimes. Puis il s'enferma dans son bureau. Il mit ses écouteurs, écoutant la musique de la veille en voiture en boucle, puis sortit une feuille A4. Utilisant une série de marques abstraites que lui seul pouvait comprendre, il dessina une carte topographique simple. Jouant avec son stylo, il réfléchit un instant, puis dessina légèrement quelques cercles dessus. Il nota : « 20 h 00‑21 h 30 », puis s’arrêta, corrigea le début : « 20 h 30‑21 h 30 » .
Fei Du sélectionna quelques fichiers de surveillance parmi une pile, les ouvrit tous ensemble, choisit le segment de 8 h 30 à 9 h 30 et les regarda en accéléré. Plusieurs images défilèrent rapidement sur l'écran. Il s’adossa nonchalamment, le regard vif fixé sur l’écran, toute son énergie concentrée dans ses yeux immobiles.
⸻
Pendant ce temps, mallette sous le bras et lunettes tape-à-l’œil, Luo Wenzhou arpentait un carrefour de l'arrondissement du Marché aux Fleurs. De temps à autre, il tendait le bras vers les taxis qui passaient dans la rue ; malheureusement, aucun d'entre eux n'était libre. Voyant cela, les taxis clandestins, spécialité locale du quartier, l'invitèrent.
— « Besoin d’un tour, beau gosse ? Où tu vas ? C’est moins cher et plus rapide qu’un taxi ! »
Luo
Wenzhou inspecta d'un œil critique la file de taxis noirs et finit par
s'arrêter devant un jeune homme aux cheveux en brosse qui lui ouvrit
aussitôt la portière, presque trop empressé.
— « Où va-t-on ? »
Luo Wenzhou monta sans répondre. Le chauffeur alluma la climatisation et quitta la file d'attente avec assurance.
— « Tu n'as toujours pas dit où tu veux aller. »
— « Continue tout droit, d'accord ? »
Luo Wenzhou retira ses lunettes de soleil.
Son regard perçant accrocha celui du chauffeur dans le rétroviseur. Celui-ci se figea aussitôt.
— « J'ai ici un rapport anonyme. »
Après
avoir parcouru une certaine distance, Luo Wenzhou ouvrit lentement sa
serviette, en sortit une photocopie et la feuilleta nonchalamment. Le
chauffeur blêmit, manqua de percuter la voiture voisine et se prit un
coup de klaxon rageur. Luo Wenzhou ne cilla pas.
— « Je ne suis pas du sous-bureau de ta juridiction. Pas de panique, continue à rouler. J'ai des questions à te poser. »
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Tao
Ran et Xiao Haiyang réussirent à rencontrer Zhao Yulong, le compagnon
provincial de He Zhongyi. Tous trois se rendirent dans un petit
restaurant de nouilles.
Zhao Yulong avait atteint la
cinquantaine. Il gagnait sa vie à Yancheng depuis de nombreuses années.
Bien que sa situation fût encore précaire, il était bien plus
respectable que les jeunes hommes qui traînaient partout sans jamais
prendre de répit. Son visage fatigué portait les traces d’un long voyage
en car. Ses cernes tremblaient à chaque clignement appuyé.
— « Je ne m’attendais pas à ce qu’il lui arrive quoi que ce soit. »
Il marqua une pause.
— « Officiers, puis-je fumer ? »
Personne dans le petit restaurant de nouilles ne faisait respecter la réglementation antitabac ; l'endroit était rempli d'hommes qui fumaient. Zhao Yulong prit deux grosses bouffées et se frotta le visage.
— « Zhongyi était un enfant sage. Beaucoup de gens traînent au billard ou dans les salles de jeux, mais lui, jamais. Il économisait de l'argent pour payer les soins médicaux de sa mère. Il n'était dans aucun mauvais coup, ne volait pas et ne jouait pas. Comment une telle chose a-t-elle pu lui arriver ? Posez-moi toutes vos questions. Je vous dirai tout ce que je sais. »
Tao Ran examinait Zhao Yulong. Il constata que, s'il tenait ses baguettes de la main droite en mangeant, il tenait sa cigarette de la main gauche et gardait également sa tasse de thé de ce côté. À l’époque, c’était fréquent : les parents craignaient qu’un gaucher ne gêne les autres à table et l’obligeaient de force à utiliser la droite. Tao Ran sortit de son sac une photo des chaussures portées par la victime.
— « Aviez-vous prêté ces chaussures à He Zhongyi ? »
Zhao Yulong regarda et ses yeux faillirent rougir. Il hocha faiblement la tête.
— « Oui, elles sont à moi. Il les portait quand... ? »
— « Oui. Ces chaussures sont cruciales », dit Tao Ran. « Savez-vous pourquoi il voulait les emprunter ? »
Zhao Yulong parut un peu perdu. Il réfléchit, puis dit :
— « Il a dit qu'il allait dans un endroit plutôt chic pour rencontrer quelqu'un, un endroit appelé… quelque chose appelé Guang… la Maison Chengguang, ou était-ce la Villa ? »
Xiao Haiyang se redressa brusquement.
— « Le Manoir Chengguang ! »
— « C'est ça », dit Zhao Yulong, « c'était le nom. »
— « Pour rencontrer qui ? Quand ? »
Zhao Yulong secoua la tête.
— « Il n'a rien dit. Je lui ai demandé, mais cet enfant était intègre et il savait tenir sa langue. »
Xiao Haiyang enchaîna rapidement :
— « M. Zhao, He Zhongyi avait un nouveau téléphone portable, n'est-ce pas ? »
—
« Oui, il en avait un, dit Zhao Yulong, le blanc, non ? Il n'osait
jamais vraiment l'utiliser. Il avait toujours l'ancien. Il sortait
parfois le nouveau pour le regarder. Il avait encore tous les films
protecteurs dessus. »
— « Savez-vous qui lui a donné ce téléphone ? » demanda Xiao Haiyang.
Zhao Yulong fronça lentement les sourcils.
— « Qu'y a-t-il ? » demanda Tao Ran.
—
« Au début, il a dit que quelqu'un de sa ville natale le lui avait
donné. J'ai trouvé ça très étrange à l'époque, car je ne l'avais jamais
entendu mentionner avoir des connaissances en ville auparavant. J'avais
peur qu'il ait fait une bêtise, rencontré des gens malhonnêtes. Offrir
un objet aussi cher, sans raison, n’était-ce pas une attention un peu
trop particulière ? Zhao Yulong tapota un peu de cendre de cigarette. «
J'ai continué à lui poser des questions, et il a fini par me dire qu'un
jour, alors qu'il faisait des livraisons, il avait eu un conflit avec
quelqu'un. Il s'était laissé frapper plusieurs fois sans riposter.
Après, je suppose que l'autre a regretté ou quelque chose comme ça et
lui a donné le téléphone en guise d'excuses officielles. »
Tao
Ran et Xiao Haiyang échangèrent un regard, ils n’en avaient pas entendu
parler lorsqu’ils étaient allés se renseigner. Y avait-il quelque chose
à cacher dans le fait d’avoir eu un conflit avec quelqu’un qui s’était
ensuite officiellement excusé ? Si c’était vrai, pourquoi He Zhongyi
était-il resté vague sur les détails et avait-il même prétendu qu’une
connaissance le lui avait confié ?
He Zhongyi vivait avec tant de
monde que si personne n'avait remarqué qu'il avait été frappé, cela
montrait clairement que la bagarre n'avait pas été sérieuse ; alors
pourquoi l'autre avait-il envoyé un objet précieux avec ses « excuses
formelles » ?
Cette affaire de meurtre, qu’on croyait simple à élucider en explorant l’entourage de la victime, se révélait soudain bien plus trouble.
Bien que Zhao Yulong ignore l'origine précise du mystérieux téléphone, il fournit l'heure approximative du conflit. Tao Ran et Xiao Haiyang durent suivre cette piste pour chercher des traces chez l'entreprise de livraison où travaillait He Zhongyi.
⸻
Dans l'après-midi, sans avertissement, le ciel, jusqu'alors d'un bleu éclatant, changea d'aspect. Le soleil brûlant fut brusquement avalé par des nuages noirs qui semblaient avoir jailli de nulle part. L'air devint humide et oppressant. Une pluie torrentielle s'annonçait.
Luo Wenzhou sortit de la voiture près d'une entrée de métro mais n'y entra pas. Il posa la main sur la portière et observa autour de lui. Un minibus garé à l'intersection bougea soudain lorsque son regard le balaya ; il démarra aussitôt, comme s’il avait été pris en flagrant délit.
Luo Wenzhou se pencha légèrement et parla à l'oreille du conducteur par la fenêtre entrouverte.
— « Quelqu'un te surveille. Fais attention. Si jamais il se passe quoi que ce soit, viens me voir. »
Malgré la climatisation, le front du conducteur était couvert de sueur. Il hocha rapidement la tête.
Luo Wenzhou le fixa longuement, puis tourna et entra dans la station de métro. Il venait de passer le contrôle de sécurité lorsque son téléphone sonna.
— « Tao Ran, tu as du nouveau ? » dit-il en passant sa carte.
Il s’immobilisa soudain.
— « Quoi ? Répète ce nom encore une fois. »
⸻
La fenêtre du bureau de Fei Du, mal fermée, claqua, comme frappée de l’extérieur.
Des papiers flottèrent au sol en bruissant. À ce moment précis, sa main, tenant faiblement la souris, bougea brusquement. Il figea l'image d'une caméra de surveillance, l'agrandit et la relança. Il remarqua qu'il était environ 20 h 50. C'était une caméra très périphérique, à peine dans les limites du manoir Chengguang. Elle était braquée sur un chemin de gravier.
Malgré le début de l'été, grâce à la proximité du point d'eau, les moustiques étaient déjà nombreux. Après la tombée de la nuit, les passants étaient rares, et ceux qui passaient étaient pressés, mais une silhouette hésitante fit les cent pas sous le lampadaire pendant un long moment.
La caméra montrait une personne vêtue d’une tenue de circonstance mais dissonante, comme empruntée ou choisie à la hâte. Plutôt maigre et pas très grande. Elle restait sur place, fumant plusieurs cigarettes d'affilée, tenant fermement une enveloppe en kraft. De temps à autre, elle regardait dans une certaine direction. Après un moment, elle sembla recevoir un appel. Elle dit quelques mots, puis s'éloigna rapidement du cadre.
Fei Du rejoua ce segment plusieurs fois. Il ne pouvait être sûr qu'il s'agissait de la victime, qu'il n'avait aperçue qu'une fois. Il prit ses clés de voiture, ferma son ordinateur et sortit.
Quarante minutes plus tard, il se garait dans le quartier commercial de l'arrondissement du Marché aux Fleurs.
Levant les yeux vers le ciel de plus en plus sombre, il sortit un parapluie du coffre de sa voiture, puis se dirigea vers les jardins autour du Manoir Chengguang.
Fei Du avait un excellent sens de l'orientation ; il ne se trompa presque pas pour repérer la caméra de surveillance.
La vapeur dans l'air était si dense que la pluie allait bientôt tomber. Il examina attentivement l'emplacement de la caméra, se rappelant la direction que la personne sur la vidéo avait regardée. Il tourna la tête : au bout du chemin, le Manoir Chengguang était vaguement visible.
Le regard de Fei Du se posa sur une poubelle à côté de lui, sur le cendrier, quelques mégots isolés, soigneusement écrasés.
Cet endroit était à l'écart. La poubelle était propre, presque personne n'y jetait quoi que ce soit. Un agent d'entretien ne passait qu'une fois toutes les deux semaines pour la vider. Fei Du sortit un mouchoir en soie de sa poche et ramassa les mégots avec précaution.
Son téléphone sonna soudain.
Il emballa tranquillement les mégots, puis sortit son téléphone. Voyant le nom de l'appelant, il sourit :
— « Quoi, tu as soudain l'impression qu'un jour sans me voir équivaut à trois ans d'absence ? »
Les mots de Tao Ran tombèrent, sans humour :
— « Avant-hier soir, étais-tu au Manoir Chengguang ? »
— « Oui », fit Fei Du en marquant une pause. « Que se passe-t-il ? »
— « Étais-tu avec une personne appelée Zhang Donglai ? »
Fei Du se figea.
Avant qu’il ne réponde, un coup de tonnerre fracassa le ciel, et la pluie s’abattit d’un seul bloc.
⁽¹⁾Xiong (兄) : honorifique employé entre amis masculins, proche de « frère ».
🕵️♂️ Récapitulatif de l'enquête Chapitre 6
Nouveaux personnages :
🔸 Zhao Yulong : provincial et proche de He Zhongyi, connaissait la victime et lui a prêté des chaussures, connaît l'origine du téléphone
Personnages déjà connus :
🔸 Xiao Haiyang : jeune enquêteur du sous-bureau, assidu et observateur, a repéré Zhao Yulong
🔸 He Zhongyi : victime, ses relations et objets personnels continuent de fournir des indices
🔸 Ma Xiaowei : suspect principal, toujours sous interrogation
Informations découvertes :
🔸 He Zhongyi avait des liens étroits avec Zhao Yulong, qui l'a aidé à obtenir un emploi.
🔸 He Zhongyi portait des chaussures appartenant à Zhao Yulong pour se rendre au Manoir Chengguang.
🔸
Le téléphone de He Zhongyi a été offert par : Quelqu'un de sa ville
natale ? En excuses après un conflit ? Pourquoi la victime a changé de
version ?
🔸 Fei Du obtient et analyse des images de surveillance du Manoir Chengguang pour déterminer les horaires et les déplacements.
🔸 Segment vidéo identifié : 20 h 50, personne (potentiellement la victime), tenant une enveloppe, fumant, regardant autour.
🔸 Fei Du trouve des indices physiques sur place (mégots, orientation de la caméra).
🔸 Piste de Zhang Donglai : Fei Du interrogé à ce sujet par Tao Ran.
Autres éléments :
🔸
Xiao Haiyang a signalé la présence de zones suspectes autour du
téléphone, malgré les ordres du capitaine de ne pas interférer.
🔸 Le
Manoir Chengguang et son environnement deviennent des points clés pour
l'analyse des mouvements de la victime et des suspects.
Faits discordants :
🔸 Le conflit ayant donné lieu au téléphone reste vague et non expliqué par He Zhongyi ou Zhao Yulong.
🔸 La personne sur la vidéo est difficile à identifier avec certitude, malgré la position et le comportement observés.
🔸 Le lien entre l'origine du téléphone et le meurtre reste à confirmer.
Connexions avec les chapitres précédents :
🔸 Poursuite de la piste de He Zhongyi et de ses relations personnelles (suite du chapitre 5).
🔸
Confirmation que Ma Xiaowei n'est probablement pas l'auteur du meurtre,
focus sur d'autres personnes de l'entourage de la victime.
🔸
Intervention de Fei Du dans l'enquête, méthode analytique et observation
minutieuse, déjà introduite dans les chapitres précédents.
Pistes émergentes :
🔸 Suivre la piste de l'objet offert à He Zhongyi après le conflit et identifier le donateur.
🔸 Examiner le Manoir Chengguang et son environnement pour recouper les images et mouvements de la victime.
🔸 Vérifier les horaires et l'identité de la personne apparaissant sur la vidéo à 20 h 50.
🔸 Confirmer la présence de Zhang Donglai et sa possible implication.
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J'aime beaucoup le personnage de Luo pour l'instant, je pense que je vais encore plus l'aimer par la suite 🥰.
RépondreSupprimerPour l'enquête sincèrement j'en sais strictement rien, mon cerveau a du mal a mettre tout les éléments en ordres et voir s'il y a de vrais indices 😅
Fei Du est mon fils, mais ça n'empêche pas que j'adoooore Wenzhou ! Il est hilarant en plus d'être loyal et 'attentionné 🥰 Haha pour l'enquête, ne t'en fais pas, on est encore au tout début là !
SupprimerJe découvre le fameux Mo Du de Priest et je comprends pourquoi il a du succés. De fortes personnalités, de la suspense, et du tas de choses qui font Mo Du plaisant à lire.
RépondreSupprimerMerci de l'avoir traduit avec soin. J'irai sans doute lire la suite.
En toute honnêteté, ça m'a fait du bien de lire des danmeus traduits en français. Fatiguée d'en lire en anglais.
Je suis vraiment heureuse de lire ça. Mon but est de faire connaître Mo Du à celles et ceux qui ne connaissent pas et de le rendre accessibles aux personnes qui ne peuvent pas ou ne veulent pas le lire en anglais, donc c'est un commentaire très motivant ! 🥰 J'espère que tu apprécieras la suite.
SupprimerPS : Si le "tu" gêne, il ne faut pas hésiter à me le dire
Pas de problème pour le tutoiement ;-)
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